Pour les délégués de Bio Suisse aussi, le profit passe avant une eau potable propre. Lors de leur assemblée de la mi-avril, ils ont suivi le comité directeur et choisi de recommander le «non» à l’initiative soumise au peuple, le 13 juin. Dans son dernier numéro, Bon à Savoir révélait que Bio Suisse craignait qu’un «oui» ne provoque la conversion de nombreux paysans au bio, ce qui ferait chuter les prix (Lire «