Il est parfois délicat d’avaler un médicament en entier, même avec un peu d’eau. Spontanément donc, le consommateur lambda tentera de l’écraser ou de le couper en deux. Bonne ou mauvaise idée? Pour Farshid Sadeghipour, chef du Service de pharmacie du CHUV, tout dépend du comprimé. L’Aspirine ou le Dafalgan, par exemple, peuvent être scindés en deux ou réduits en poudre sans conséquence.

D’autres, même en l’absence de rainures, peuvent aussi être manipulés de...