1999 nous apporte une bonne et une mauvaise nouvelle.



La bonne d’abord. Le prix des communications téléphoniques ne cesse de baisser. Et ça n’est vraisemblablement pas fini. Tony Reiss, le patron de Swisscom, l’admet lui-même: ses tarifs seront divisés par deux à

moyen terme. Autrement dit:

ils sont encore nettement trop élevés (voir notre comparaison en pp. 16 et 17).

Il est aujourd’hui possible de converser en soirée avec Paris ou Rome pour 15 c...