«Nous nous dirigeons clairement vers la baisse qualitative d’un certain nombre de produits.» Pour Marc Treboux, chimiste cantonal à Neuchâtel, l’introduction en Suisse du principe du Cassis de Dijon (lire encadré) n’est pas favorable aux consommateurs. Les premières autorisations délivrées par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), qui permettent l’importation de denrées européennes non conformes aux prescriptions suisses, semblent lui donner raison.

Depuis...