Un contrat d’assurance maladie par-ci, une série de SMS surtaxés par-là, la liste des services que le consommateur est amené à accepter à l’insu de son plein gré est variée. Jugez-en plutôt: en ne refusant pas explicitement la prolongation des contrats d’assurance jusque-là offerts gratuitement, une lectrice a dû payer 32 fr./mois pour un service qu’elle n’a finalement jamais demandé (lire en page 3).

Il en va de même des SMS surtaxés que de nombreux lecteurs ac...