Quel revêtement sur les cuiseurs à riz?
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Bon à Savoir 07/08-2022
29.06.2022
Dernière mise à jour:
04.10.2022
A propos de notre article «11 cuiseurs à riz: mettre le prix pour réussir son basmati» (5/22)
A la suite de votre excellent test pour les cuiseurs à riz, je suis allée sur le site de toppreise.ch dans le but de voir où commander le modèle WMF qui est sorti en première position dans votre tableau. Au moment de commander sur l’un des sites, je suis tombée su...
A propos de notre article «11 cuiseurs à riz: mettre le prix pour réussir son basmati» (5/22)
A la suite de votre excellent test pour les cuiseurs à riz, je suis allée sur le site de toppreise.ch dans le but de voir où commander le modèle WMF qui est sorti en première position dans votre tableau. Au moment de commander sur l’un des sites, je suis tombée sur la description du cuiseur qui indique que ce dernier comporte un revêtement antiadhésif... Alors que je pensais que le cuiseur était en inox pur, comme les casseroles que j’utilise pour cuisiner... J’ai contacté l’entreprise qui m’a répondu que tous leurs modèles comportaient ce revêtement. Ma question: êtes-vous en mesure de me dire si tous les modèles testés comportent aussi ce revêtement antiadhésif comme le modèle WMF que je ne vais pas commander pour cette raison?
Christine Frei, 1009 Pully
En effet, tous les modèles testés comportent ce revêtement antiadhésif. L’Association française de défense des consommateurs a soulevé en 2007 la question de la dangerosité d’une matière controversée utilisée pour ces revêtements (l’acide perfluorooctanoïque – PFOA). L’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFFSA) avait répondu, après deux ans d’expertise collective, que «le risque résiduel de PFAO dans ces revêtements anti-adhésifs est négligeable.» Mais il est néanmoins exact que les consommateurs s’exposent à cette substance via les matériaux au contact de ces aliments, à une hauteur estimée par l’AFFSA à 0,3 microgrammes par kilo de poids corporel au maximum. Une dose jugée «tolérable» mais qui, encore une fois, ne tient pas compte des autres expositions auxquelles nous sommes soumis. Un principe de précaution strict dicterait donc de l’éviter.
La rédaction
