Beurk! s’exclame Christiane de Reynier ce matin où, en remuant son fromage blanc Jockey, elle découvre «quelque chose de solide» – un bout de plastique, entouré d’aluminium (voir photo). Trois jours plus tard, elle ouvre un autre pot de

Jockey... pourri. Pour notre lectrice vaudoise, c’est le comble de plus d’un an de déboires: elle n’a cessé de ramener chez Coop des pots de Jockey, et aussi des carottes râpées en sachet, avariés avant l’heure (réd: lire dans B...