Des fourreurs suisses utilisent-ils la peau de chats et de chiens domestiques élevés à cette fin pour confectionner des parties de vêtements – cols, capuchons, revers de manches – voire des manteaux entiers, sans parler de peluches pour enfants? C’est en tout cas ce qu’affirme le magazine tessinois Scelgo Io, qui dispose d’indices sérieux pour appuyer ses dires.

Selon un article publié en février dans cette nouvelle revue de consommation, les fourrures de chiens et de ch...