Claudia Luder, de Langenthal (BE), règle le tabouret pour que sa fille Nina soit assise au niveau requis. Deux flashes, puis l’appareil crache ses quatre portraits. Tout le monde, un jour ou l’autre, s’est fait photographier de la même manière...

Claudia a toutefois eu un problème: le contrôle des habitants a refusé les prises de vue, la qualité étant «trop mauvaise». Il lui a même conseillé de se rendre chez un professionnel. «Le photomaton porte pourtant la mention...