Depuis 2006, l’entreprise de transports publics fiche les resquilleurs dans une banque de données nationales. L’objectif: réduire le nombre d’infractions, grâce à un système de sanctions en cascade. Le nombre de cas est ainsi passé de 4% à 1,4% en trois ans. Aujourd’hui, frauder par habitude coûte très cher: 80 fr. à la première incartade, 120 fr. en cas de récidive et 150 fr. la troisième fois.

Les CFF n’hésitent plus à déposer plainte pénale contre les resq...