Sommaire
- Précisions parues dans BàS 02/1998Frais bancairesLes renseignements que vous avez obtenus auprès de l’Union suisse des banques Raiffeisen ne sont pas exacts. Ils ne sont que le reflet de la politique pratiquée par une banque Raiffeisen en particulier, et non pas de l’ensemble de nos banques: ils ne peuvent pas être considérés comme une moyenne suisse. Ces chiffres n’ont enfin pas été accompagnés des commentaires qui s’imposent. Il va de soi que nous ne pouvons vous en faire le reproche, mais il est important d’apporter les précisions suivantes.Les banques Raiffeisen sont des instituts financiers organisés en coopérative. Elles sont autonomes, notamment quant à leurs pratiques en matière de conditions. Certes, l’Union suisse publie régulièrement des recommandations de gestion, mais elles n’ont pas force d’obligation et elles ne représentent surtout pas une moyenne suisse.Nous avons repris les données de votre tableau et les avons recalculées sur la base de ces recommandations. Nous arrivons à un total des frais de 78,70 fr., moins les intérêts pour 1997 (41,70 fr.), soit un coût final pour Monsieur X de 37 fr., c’est-à-dire la moitié moins que la somme mentionnée dans votre tableau. Et la grande majorité de nos banques pratiquent des conditions bien plus avantageuses que nos recommandations, ce qui nous situerait, en moyenne suisse, à une position nettement inférieure.A. GirardinUnion suisse des banques RaiffeisenNous vous signalons deux inexactitudes concernant le banque Coop. Sous la lettre A, le taux d’intérêt au 31.12.97 (1%) a disparu. Et comme ce même taux était de 1,25% jusqu’au 31.7.97, le montant des intérêts s’élève à 44,10. Le total des frais payés par Monsieur X n’est donc plus que de 8,70 fr.Gilbert GénierBanque Coop Lausanne
Trop c’est trop. C’est du moins, selon un sondage publié par l’hebdomadaire alémanique Sonnatgsblick, ce que semblent penser les clients de l’UBS et de la SBS. Un quart d’entre eux veulent cesser totalement (16%) ou partiellement (8%) leurs relations d’affaires avec celle qui deviendra la deuxième banque mondiale. Ils n’ont d’ailleurs pas attendu la fusion (vraisemblablement au mois de mai 1998) pour mettre leur menace à exécution: les banques cantonales ont accueilli nom...
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