Trop c’est trop. C’est du moins, selon un sondage publié par l’hebdomadaire alémanique Sonnatgsblick, ce que semblent penser les clients de l’UBS et de la SBS. Un quart d’entre eux veulent cesser totalement (16%) ou partiellement (8%) leurs relations d’affaires avec celle qui deviendra la deuxième banque mondiale. Ils n’ont d’ailleurs pas attendu la fusion (vraisemblablement au mois de mai 1998) pour mettre leur menace à exécution: les banques cantonales ont accueilli nom...