On estime à quelque 15% du budget la part consacrée par les Helvètes à se distraire — toutes activités confondues — soit une moyenne nationale de 12 000 fr. Se distraire, pour la majorité de nos concitoyens, signifie surtout prendre le large, en voiture, en train ou d’une autre manière, et s’attabler autour d’un bon repas: les deux seuls postes «transports» et «restaurant» représentent respectivement 24 et 21% du budget loisirs. Autre chiffre étonnant: les 6% consacr...