Un établissement lausannois sert habituellement le p’tit noir pour 3.40 fr. Or, lors d’une récente manifestation, son prix a subitement pris l’ascenseur pour atteindre 5 fr.! Le tenancier en avait-il le droit, s’interroge un de nos lecteurs. La réponse est oui! Le procédé est certes peu élégant, mais légal.

En effet, chaque établissement est libre de fixer ses tarifs, et donc de les majorer. A condition toutefois d’indiquer clairement le nouveau montant. Dans le cas c...