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Bon à Savoir 10-2010
06.10.2010
Dernière mise à jour:
02.03.2023
Zeynep Ersan Berdoz
A propos du dossier «Petits gestes, gros impact» (9/10).
J’ai pris connaissance avec beaucoup d’intérêt de votre étude comparative sur l’écobilan d’une journée type. Je questionne toutefois la sagesse de votre recommandation de faire livrer ses achats à domicile, plutôt que d’aller les chercher au supermarché, car vous favorisez ainsi la sédentarité, même si, théoriquement, les gens peuvent utiliser le temps ainsi épargné pour faire du sport. Mais combien le ...
A propos du dossier «Petits gestes, gros impact» (9/10).
J’ai pris connaissance avec beaucoup d’intérêt de votre étude comparative sur l’écobilan d’une journée type. Je questionne toutefois la sagesse de votre recommandation de faire livrer ses achats à domicile, plutôt que d’aller les chercher au supermarché, car vous favorisez ainsi la sédentarité, même si, théoriquement, les gens peuvent utiliser le temps ainsi épargné pour faire du sport. Mais combien le font-ils en réalité? Là, je suis plutôt cynique!
Rosemary Wells-Marie
En réaction au test d’éco-impact proposé en lien sur votre site, j’estime que deux options à choix, c’est trop peu. Par exemple, j’emploie un réveil à pile (qui n’est donc ni un réveil branché au secteur ni un téléphone portable) et je bois du thé (ce qui n’est ni un café soluble, ni un café à capsule). Le fait de devoir choisir entre des actions ne me correspondant pas m’a contrarié et je ne suis pas allé au bout du test. Pour en faire un test vraiment cohérent et pertinent, il faudrait augmenter le nombre de possibilités de manière raisonnable et faire en sorte de pouvoir passer une question sans y répondre, si elle ne concerne pas l’usager.
Florian Kundig
Votre article, et en particulier le programme accessible sur internet, est particulièrement négatif, puisqu’ils sont décourageants. Il est en effet impossible d’obtenir un score «acceptable», ce qui peut pousser les gens à purement et simplement renoncer à faire le moindre effort. Psychologiquement, l’être humain a besoin d’avoir l’impression que le but à atteindre est, justement, atteignable. Cela est nié par la journée A (comportement correct), qui est près de quatre fois ce que la planète peut supporter! Un problème de base qui est par ailleurs soigneusement tu: c’est la démographie. N’y a-t-il pas trois fois trop (ou plus) d’êtres humains sur notre planète?
Jean-Paul Muller