A l’examen pratique, les Vaudois ont connu un taux d’échec de 45% en 1999. Or, dans le canton d’Uri, seul un élève sur cinq a dû se présenter une seconde fois. Pourquoi de telles différences? Les experts de la circulation l’expliquent par trois facteurs: tout d’abord, il est plus difficile de réussir l’examen dans les régions urbaines à haut trafic que dans les cantons campagnards. Ensuite, les Alémaniques prennent plus de leçons de conduite que les Romands (21 en moyen...