D’une certaine manière, la Suisse fait partie de l’Europe. On pourrait du moins le croire, à observer l’omniprésence de la monnaie européenne dans la publicité, dans les restaurants ou dans les parkings, mais aussi sur les étiquettes de vêtements et les écrans des automates à billets des CFF.

Il n’y aurait que des raisons de s’en féliciter, si l’euro n’entraînait pas dans son sillage une cohorte de confusions, comme le démontre le courrier des lecteurs reçus p...