Courrier des lecteurs

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Bon à Savoir 10-2002

09.10.2002

Ellen Weigand

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Acrylamides
à proscrire
A propos des articles «Le vrai visage des antirides» et «Des acrylamides dans les frites» (8/02).
Vous parlez du danger que représentent peut-être les acrylamides dans les aliments. Et un autre article, sur les antirides, mentionne l’utilisation d’acrylamides en cosmétique. Injectés sous la peau et en contact permanent avec l’organisme, ne présentent-ils pas eux aussi un risque de cancer? Si ce risque, même très faible existe, cette pratique devrait être interdite.
FRANÇOIS SCHUWEY
Trélex

Dispensaire
ostéopathique
A propos de l’article «Médecines alternatives: la bonne assurance» (9/02).
S’il n’est pas faux que «pour pouvoir consulter un ostéopathe sans bourse délier, il faut une assurance complémentaire», il faut aussi savoir que les personnes démunies peuvent consulter des ostéopathes diplômés au Dispensaire ostéopathique de Lausanne, sans assurance complémentaire et «sans bourse délier».
Notre dispensaire est situé dans les locaux du Point d’Eau, à l’avenue de Morges 26, à Lausanne.
FRANCISCO DONOSO
Ostéopathe, Lausanne

Changer de caisse:
dur, dur
A propos du Conseil juridique concernant le changement de caisse maladie (9/02).
Votre article est exact, mais il ne reflète par la réalité. L’année passée, j’ai été confronté à ce problème et il m’a fallu près de deux mois de tracasseries administratives pour y mettre fin. Changer de caisse pour l’assurance de base en fin d’année est un véritable parcours du combattant, semé d’embûches et mon conseil aux assurés désirant faire jouer la concurrence est de s’assurer, par preuve écrite, que l’ancienne caisse a bien fait le transfert à la nouvelle.
MICHEL AMSTUTZ
Valeyres-sous-Rances

Remboursement en espèces
A propos de l’article «Une pancarte séduisante, mais hélas trompeuse» (8/02).
A propos de la publicité «Satisfait ou remboursé» de Conforama, la Commission suisse pour la loyauté a rendu un arrêt, avec notamment les points suivants: «Dans l’usage courant, le mot remboursé, sans plus de précision, implique un remboursement en espèces. Si le remboursement ne devait pas avoir lieu par la restitution du prix d’achat, mais sous la forme d’un bon d’achat équivalent, cela devrait être clairement indiqué. Cela étant, la publicité en magasin est trompeuse et par conséquent déloyale.»
La rédaction

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