On les appelle «parallèles», «alternatives» ou «douces» et, dans la loi sur l’assurance de base, «complémentaires». En 2017, près de 30% de la population (20% des hommes et 37% des femmes) y ont eu recours. 37% des Romands ont poussé la porte d’un thérapeute alternatif contre 26% des Alémaniques et 22,7% des Tessinois.

Attention: même si on parle de médecine «complémentaire», quatre disciplines sont prises en charge par l’assurance de base