Mesurer chaque seconde qui passe inexorablement est l’œuvre fondamentale des horlogers. Mais ces maîtres du temps savent aussi, parfois, faire abstraction des années écoulées, comme le montre le courriel que nous a envoyé Franco Mor de Saint-Sulpice (VD). En 1991, ce dernier a fait l’acquisition d’un chronographe de marque Eterna dans une bijouterie lausannoise. L’instrument fonctionne toujours à la perfection, mais son écrin a mal supporté le poids des décennies. Alors que ...