Un chat Manx sur cinq naît avec des anomalies. C’est prouvé scientifiquement. Cela peut aller de pattes mal formées jusqu’à la paralysie de la vessie, en passant par l’absence d’anus ou le dos ouvert (spina bifida), comme l’a observé le généticien britannique Roy Robinson.

Malgré cela, il existe des éleveurs de Manx en Suisse. Parmi eux, la Genevoise Huguette Noebels. Elle affirme que la part d’animaux handicapés n’est «ni plus ni moins importante que la moyenne ...