Rudolf Luginbühl cite l'exemple d'une caisse qui a, dans un premier temps, rejeté une physiothérapie, puis qui a refusé de couvrir les coûts d'une intervention chirurgicale ultérieure sous prétexte que le patient n'avait pas suivi assez de séances de physio. «Ce genre de cas est en hausse et cela nous préoccupe», poursuit l'ombudsman. Selon ce dernier, les caisses tentent par tous les moyens de se débarrasser des mauvais risques. Certains patients se verraient ainsi «submergés par ...