Les dettes, les découverts ou les arriérés de paiement ne sont pas l’apanage des plus jeunes. Mais ces derniers ont plus de difficultés à se remettre à flot que leurs aînés (lire «Les jeunes s’endettent toujours plus avec leur téléphone portable»), d’où le risque d’être happés par la fameuse spirale de l’endettement. Les antennes romandes du Centre social protestant constatent d’ailleurs que 80% des personnes end...