Vendus par dizaines de milliers durant la pandémie de coronavirus et à un prix bien plus élevé que les traditionnels masques chirurgicaux, les FFP2 ne protégeaient pas tous leur hôte comme promis. Invoquant la loi sur la transparence, Ma Santé s’est procuré des documents qui mettent en cause de nombreux modèles de masques.

Sur mandat de la Confédération, la Suva et le Bureau de prévention des accidents (bpa) ont régulièrement contrôlé si les masques de prote...