Sam (nom connu de la rédaction) est enseignant à Zurich. Il doit porter un masque en classe et dans l’enceinte de son école. Ce sont des journées de plus de huit heures sous la protection chirurgicale, avec pour seul répit le casse-croûte de midi. Il a développé des rougeurs sur une pommette. Pour lui, le diagnostic est clair: il s’agit d’une réaction au masque.

Et il n’est pas le seul dans ce cas. Philipp Spring, dermatologue à Épalinges (VD), dit voir un à deux pa...