Généralement, le droit suisse interdit la diffamation, c’est-à-dire la divulgation à des tiers de choses fausses ou de soupçons infondés à propos d’une personne. Il est, par exemple, prohibé d’aller vers son patron et d’accuser, à tort, un collègue de voler dans la caisse. La violation de cette règle est punie, sur plainte, d’une amende. L’accusé ne risque toutefois rien, s’il arrive à prouver que les faits exprimés sont vrais.

Ainsi, si vous n’avez pas re...