Lorsqu’un criminel est condamné à une peine ferme, ses victimes et les proches de celle-ci peuvent exiger d’être informés des modalités d’exécution de sa sanction (durée, fuite, remise en liberté, etc.). L’autorité ne peut refuser cette demande que si le condamné fait état d’un intérêt personnel plus important à la discrétion. C’est le cas, par exemple, s’il rend vraisemblable un réel danger de représailles.

La complice d’un assassin a récemment tent...