Elles se ressemblent toutes, ces grosses machines auxquelles on confie le soin d’identifier nos maux ou d’apprivoiser le bébé à naître. Pour rester ensuite suspendus au verdict de l’image. Soupir de soulagement quand tout va bien, ou cœur serré à la vue d’une tache inquiétante. A moins qu’une ligne de fracture ne sonne la fin des vacances de ski.

Pesée des risques

Pourquoi le médecin prescrit-il une radiographie plutôt qu’une IRM? Les indications de chaq...