C’est en effet ce que prévoit l’Ordonnance sur les denrées alimentaires et les objets usuels (ODAlOUs), des composantes principales d’un produit en tout cas. Ainsi, «[l]’étiquetage doit être rédigé dans une des langues officielles au moins. Il peut exceptionnellement être rédigé dans une langue non officielle si on peut admettre que le consommateur en Suisse est suffisamment informé et ne peut être induit en erreur» (art. 26 al. 4)

L’article 29 de la même ordonn...