A partir du 1er mai 2019, les prestataires d’activités à risque, telles que le saut à l’élastique ou l’alpinisme devront systématiquement apporter la preuve de leurs compétences et demander une autorisation. Cette obligation touchait jusqu’ici uniquement les entités dont le chiffre d’affaires annuel dépassait 2300 fr. Elle ne concernera pas les organisations à but non lucratif, comme le Club alpin suisse, Suisse Rando ou Pro Senectute qui mettent sur pied des camps et des e...