Un clic d’ordinateur n’émet rien de visible. Pas de petit nuage de fumée qui s’échappe, comme au démarrage d’une voiture. Et pourtant, la consommation énergétique du numérique est, elle aussi, faramineuse. Elle découle de la fabrication des appareils, puis des vastes centres de données dont il faut sans cesse refroidir les locaux et, enfin, du processus d’acheminement desdites données. Ne serait-il pas temps d’oser la sobriété numérique? Parler à ses collègues plut...