A l’heure actuelle, le corps médical ne prélève les organes destinés à la transplantation que si le défunt ou ses proches ont donné leur consentement explicite. Une initiative fédérale populaire de la Jeune Chambre Internationale Riviera souhaite changer la donne: toute personne décédée devrait être potentiellement donneur d’organes. Si le futur défunt ne le souhaite pas, il doit annoncer son objection. C’est ce que les experts nomment le consentement présumé. Avec leur ...