Des mots qui soulagent, un massage, un gaz anesthésiant: aux HUG, le service des soins intensifs fait tout pour limiter la souffrance des patients gravement atteints. Dans ce secteur, le niveau de douleur doit être réévalué toutes les quatre heures, un délai qui passe à une heure quand le patient souffre. Le personnel soignant est alors alerté par le biais d’un smartphone. Cette alarme se déclenche aussi en l’absence d’amélioration. Le projet «Antalgie, mission intensive» (A...