C’est toujours une joie indicible de poser son popotin sur un siège d’aéroport en salivant sur les vacances qui s’annoncent. Jusqu’au moment où ce fichu panneau d’affichage termine son papillonnement pour annoncer que le vol est retardé ou, pire encore, annulé. Ces déconvenues sont aussi fréquentes que les indemnisations spontanées sont rares. Le voyageur n’a pas d’autre choix que d’empoigner son bâton de pèlerin et de taper très fort sur le comptoir pour que la com...