En matière de placements, mieux vaut être prudent. C’est en tout cas ce qui ressort de la jurisprudence récente sur les contrats de conseils en placement et la responsabilité du gestionnaire. En l’occurrence, un étranger fortuné a constaté que la valeur de ses placements dans une banque suisse avait fortement chuté. Il a voulu se retourner contre l’établissement chargé de la gestion de ses portefeuilles. Motif: il n’aurait pas donné son aval pour certains placements. Argume...