Un randonneur fait une chute fatale en montagne. Il avait préalablement déclaré à ses compagnons de cordée se sentir mal. Sa famille fait valoir qu’il a été victime d’un accident au sens de la loi. L’assureur accidents, de son côté, plaide que la cause principale du décès est une défaillance cardiaque. Le Tribunal cantonal vaudois, soutenu ensuite par le TF, a donné raison à l’assureur: les lésions accidentelles étaient, en l’occurrence, insuffisantes pour entraîner...