L’industrie alimentaire ne veut pas en entendre parler et les politiques ne semblent guère s’en préoccuper. Il suffirait pourtant d’exiger que l’emballage de chaque aliment transformé mentionne la part de sucres dans le poids des glucides, mais aussi celle des sucres ajoutés (lire page précédente) pour clarifier les choses. A défaut, le consommateur est prié de se débrouiller comme il peut, et il ne peut souvent rien du tout...

Prenons l’exemple des biscuits Petit B...