Le Conseil des Etats n’a donc pas suivi l’avis de sa commission des télécommunications, chargée du dossier. Le 15 janvier, cette dernière avait estimé que les coûts de l’itinérance restaient trop élevés pour les consommateurs suisses et qu’il convenait d’imposer des plafonds (lire notre enquête), comme le demandait la motion d’Ursula Wyss rejetée hier.

Certains sénateurs ont-ils été influencés dan...