D’un côté, il y a le consommateur (vous, nous…) qui paie toujours plus cher des services toujours plus restreints, quand bien même ils sont officiellement reconnus «publics» et doivent donc – comme l’écrit la Confédération elle-même – «être accessibles à toutes les catégories de la population et offerts dans toutes les régions du pays à des prix abordables».

De l’autre côté, il y a cette même Confédération qui pousse les prestataires de ce type de servic...