«J’ai récemment été racolé dans un grand centre commercial genevois par les représentants des produits Herbalife. Ils m’ont montré des photos de plusieurs personnes avec un indice de masse corporelle supérieur à 45, devenues sveltes après quelques semaines seulement. Je croyais qu’il était interdit de vendre des compléments et substituts de repas en leur attribuant des effets amaigrissants. Existe-t-il des sanctions pour faire cesser ce genre d’infractions?»