Un employé, qui arrondissait ses fins de mois en travaillant comme garde auxiliaire, se retrouve au chômage. Il en profite pour augmenter le nombre d'heures consacrées à ce "petit boulot", jusqu'à réaliser, en 1994, un revenu net de plus de 9000 francs. Une somme qu'il néglige d'annoncer à la caisse de chômage. A tort, tranchent les juges fédéraux. En effet, après avoir perdu son emploi, l'homme a augmenté de manière marquée son activité de garde auxiliaire. Dès lors, ce reve...