Fin 2001, le virus informatique Happy Christmas a refait surface. C’est l’exemple parfait du mécanisme de contamination le plus courant: un internaute reçoit un e-mail, avec pour objet un texte attrayant, alarmant et/ou approprié à un moment clé. Intrigué, curieux, il ne peut s’empêcher d’ouvrir le fichier joint, d’autant que le mail provient apparemment d’une connaissance. Et déjà, le virus s’est installé sans qu’il s’en rende compte.

Ce genre de mésaventur...