Depuis le 1er avril, les actes de violence domestique peuvent être poursuivis d’office. Les victimes d’agression physique ou de viol par leur conjoint ou concubin ne doivent donc plus déposer une plainte pour lancer une procédure pénale. Outre la contrainte sexuelle et le viol, les lésions corporelles simples, les voies de fait et les menaces répétées intervenant au sein du couple, marié ou non, hétérosexuel ou homosexuel, sont concernées par ce changement. Mais la procédure ...