Claudine Ballifard et son mari ont vécu les dix dernières années de leur vie commune dans un petit appartement, à Lausanne. A la mort de ce dernier, en 1995, sa veuve a reçu une lettre de la gérance Sogirom, l’informant que le contrat se poursuivait aux mêmes conditions et qu’elle bénéficiait d’un loyer inchangé de 1100 fr., ce qui est tout à fait normal. Il était cependant ajouté que le loyer réel s’élevait à 1260 fr. et que le bailleur «invoquera à l’avenir cette...