Les cartes «mains libres» des stations de ski en agacent plus d’un. Alors que leur coût n’est jamais inclus dans les prix affichés, elles sont rarement reprises. «Mais réutilisables presque à l’infini!» clament les sociétés de remontées mécaniques. Bien, mais que se passe-t-il quand elles ne fonctionnent plus? C’est le consommateur qui passe à la caisse, pardi! Une lectrice vaudoise en a fait l’expérience à la caisse de Barboleusaz (domaine skiable de Villars-Gryon), ...