Le début de l’histoire est banal à en pleurer: une société basée à l’étranger (ici en Belgique) tente de placer sa marchandise (du vin en l’occurrence) par téléphone. Sauf que, dans le cas des Enfants de Bacchus, l’appel a eu lieu en 2011 et que c’est presque deux ans plus tard que deux lecteurs – sans lien – se voient rappeler une commande qu’ils n’ont pas souvenir d’avoir passée.

Lorsqu’ils le font savoir, des coups de fil de plus en plus insistants, v...