Lorsque l’expéditeur affranchit insuffisamment son envoi, le destinataire paie. C’est ce que la Poste de Colombier demande un jour d’avril à Pierre Blanchet: collé sur un support et découpé avant d’être recollé, le timbre n’est pas valable.

Notre lecteur n’est pas d’accord. Pourquoi un timbre, non oblitéré, entier et collé au bon endroit, ne serait-il pas valable? Il s’ensuit un échange de correspondance entre Pierre Blanchet et La Poste – jusqu’à la direc...