Il aura fallu plus de deux ans de lutte à Jean-Maurice Rappaz pour se faire rembourser un canapé défectueux. En septembre 2007, le magasin de meubles Diga livre à ce lecteur fribourgeois un divan pour le prix de 5002 fr. Ce dernier s’aperçoit aussitôt que l’objet a de gros défauts. Le mécanisme des accoudoirs, en principe mobiles, est trop rigide, le rembourrage des angles est de qualité médiocre et les agrafes, visibles à l’œil nu, sont trop courtes et présentent un risqu...