Patricia Gilles, de La Chaux-de-Fonds, n’est pas contente. Une personne de Talk Talk l’aurait contactée en se faisant passer pour une employée de Swisscom, histoire de la convaincre de signer un nouveau contrat préférentiel en récompense de sa fidélité. Trois mois plus tard, Swisscom demande à notre lectrice la raison de sa résiliation. Surprise, la Neuchâtelois manifeste le désir de retourner chez Swisscom.

C’est alors que Talk Talk lui réclame 100 fr. pour rupture d...