«Etre dérangé sur son téléphone portable par un inconnu, c’est une atteinte à la sphère privée désagréable», témoigne ce lecteur. Pour ne rien arranger, son interlocuteur, qui faisait un sondage pour l’Institut gfs.bern, ne parlait pas le français. «Pour que l’enquête soit représentative, nous ne pouvons plus nous limiter aux raccordements fixes et à ceux qui figurent dans l’annuaire», confirme sa porte-parole Cloé Jans. Les numéros sont générés au hasard par un...