Un patient s’est vu restreindre la prise en charge de sa psychothérapie à une séance par semaine, contre deux auparavant. Pour prendre cette décision, sa caisse maladie s’est basée sur le rapport de son médecin-conseil, qui avait lui-même transmis le dossier médical à un spécialiste, mais sans en informer le patient. Celui-ci a contesté l’attitude du médecin-conseil jusqu’au Tribunal fédéral*. Mais il a échoué.



Données sensibles

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